Momo dans le champ décida de rentrer chez lui pour voir si tout le monde allait bien.
- Écoutez demoiselles, votre compagnie m'est fort aisée, mais je m'en vais regagner mon logis. Je suis un peu las, puis je l'avoue, ce godelureau m'a fatigué. Mais une chose est assurément certaine, c'est que le faquin n'est pas près à y revenir.
- Hii, tu l'as bien corrigé, tu es mon méga love Momo.
- Hiii, oui, tu as chassé un raseur de plus, hiii, si ça se trouve, il était parti faire caca au pied du noyer, pirate, bandit, sacripant, faquin, hiii.
Momo repartit en direction de chez lui. Il avançait avec grâce et arriva assez vite devant sa maison. Il se mit à la porte et miaulât, mais personne ne lui ouvrit. Le ciel lui semblait bizarre sans qu'il sache pourquoi. Impatient, il finit par monter avec grâce sur le rebord de la fenêtre afin de se faire voir par la vitre.
- C'est étrange quand même, j'ai comme l'impression que le temps n'est point comme à l'accoutumé.
Je suis, fort aise néanmoins de voir mes amis dormir ainsi contre ce bon chauffage dont il ne faut point monter dessus. Il me faudrait lui dire au petit-enfant que cet endroit pour les pattes est très dangereux, qu'il ne fasse point cette stupide bêtise que j'aie commise un jour en sautant dessus. Diantre, rien que d'y repenser, j'en ai encore mal aux coussinets. Bon que nous dit cet azur laiteux, c'est étrange quand même, ses nuages ne semblent point normaux. Hé, monsieur ciel, que vous est-il arrivé, est-ce une bévue de notre sacripant de Pépère qui vous aurait déranger en ayant fait des siennes sur la commune voisine, chat chat chat.
j'extrapole, certes, ne m'en veuillez point. Morbleu, la porte qui s'ouvre, vite allons rejoindre notre couche afin d'y faire office d'un repos bien mérité et ne pensons plus à ce maraud qui était sur nos terres, mon bon roi Momo.
Le poète rangea son téléphone et prit la direction de sa voiture.
Le Pépère rendit Saturne invisible et celui-ci fila dans les jambes de l'homme qui ne le voyait pas. Dans la petite voiture Pépère était extrêmement concentré, légèrement penché en avant. C'est alors que le dépliant tomba et que Pépère vit qu'une promotion sur le jarret de porc était en cours. Il ne le savait pas, car il avait loupé la page en le consultant. René, le poulet qui était sur la couverture avait accaparé toute son attention. C'est alors qu'il s'en saisit et salivait en répétant, mon bon seigneur, Roger le jarret, je vais prier pour vous, notre sainte côtelette qui êtes au musée de la viande, faite que Roger le jarret ait l'honneur de parler à mes crocs. Zut, Pépère que fais tu, tu relâches la garde, Saturne va devenir visible. C'était déjà trop tard l'homme le vit apparaître devant lui.
- Ça alors c'est bizarre, je vois disparaître le Pépère tout à l'heure et maintenant, je vois apparaître Saturne au même endroit que la fifille. Il se passe des choses bizarre ici que je ne comprends pas. Vient joli minet, tu as peut-être faim. C'est pour qui les bonnes croquettes que j'ai dans la voiture.
Pépère ne savait pas comment faire et pensait le rendre invisible dès que le poète serait en route. Il tapait de la patte de colère et se mit à crier, tout en sachant que l'homme ne pouvait l'entendre dans la voiture qui était invisible sur le plan sonore.
- Ne t'inquiète pas mon frérot, je vais te rendre invisible dès qu'il sera en train de rouler.
Il pensera avoir été victime d'une hallucination avec tout ce qu'il engloutit.
Le poète se demandait s'il ne rêvait pas.
- Vient mon gamin, je te dis que j'ai des croquettes regarde sur le siège, miam miam les bonnes croquettes, c'est pour qui.
Le Pépère le regardait méchamment et fit la réponse.
- Pour ma love colis, pour qu'elle s'en fasse des collier, pour faire des défilés de haute couture pour le bal de la gendarmerie espèce d'ivrogne. Laisse mon frérot en paix et donne-moi ma carte ivrogne. Attends que je rentre, si tu fais du mal à mon frère, je désintègre ton gourbi à coup de moustaches.
Le Pépère ne pouvait plus rien faire, le poète avait pris Saturne dans ses bras. Il risquait de les rendre invisibles en même temps.
Il montait dans sa voiture et mit Saturne derrière.
Le Pépère était affolé et décida d'aller chercher quelqu'un pour l'accompagner sur le scooter.
Son téléphone n'était pas chargé et il décida d'aller trouver Isidore vers la mare.
En sortant de la voiture, il se prit la patte dans la ceinture et tomba dans une flaque de boue. Très vite, il partit se cacher derrière son auto et s'essuya sur le pare-choc.
- Bon pas d'affolement mon copain, tu es de nouveau parfaitement propre. J'y ai échappé belle, je ne crains rien derrière la voiture, l'autre zèbre marocain élevé au rhum italien ne peut pas me voir. Zut, il s'est envolé l'oiseau, vite allons voir Isidore.
Il partit vers la mare où Isidore était en train de travailler avec Coin-coin et Un-œil sur un détail de leur numéro qui le chagrinait pour l'émission toutes griffes dehors.
Le Pépère lui expliqua la situation et Isidore semblait embêté.
- Je comprends mon copain, mais je dois absolument travailler une partie du spectacle avec Un-œil et Coin-coin.
- Fle fle fle, oui sinon je ne serai jamais canard premier pour ma love poète gendarme que j'aime, fle fle fle.
- Excuse nous Pépère, mais pourquoi n'y vas-tu pas avec Pêcheur ?
- C'est une bonne idée, je l'emmène avec moi.
- Toc toc toc, soit prudent mon copain, toc toc toc, je ne veux pas finir chez le béquetier, toc toc toc.
Le Pépère se dépêcha de sauter sur le scooter et dit à pêcheur.
- Tu es prêt à partir avec Chatmareur.
- Toc toc toc, fait attention surtout, je ne veux pas perdre mon bec toc toc toc.
Le pépère démarra comme un fou et le pauvre héron était déjà en train de prier et de se demander s'il avait eu une bonne idée de partir avec lui.
Le Pépère continua d'accélérer le scooter qui avait failli chuter en dérapant dans l'allée boueuse.
Le Pépère reprit la route du centre-ville. Le peu de monde qu'il y avait à cette heure-ci et qui descendait vers le canal se poussait devant ce danger de la route.
Un scooter conduit par un chat avec derrière lui, agrippé, un héron qui hurlait.
- Toc toc toc, le Pépère va me tuer, toc toc toc, je vais finir sans bec, toc toc toc. Pépère, tu vas finir les quatre pattes cassées, toc toc toc.
- Non ne t'inquiète pas, je suis le Casanova du scooter, poussez-vous les minettes Chatmareur est de sortie. Sur la route en sens unique qui remontait vers le bar où il avait fait son exploit de déjection, il se mit à slalomer entre les voitures en stationnement et criait, poussez-vous, c'est une affaire d'une extrême importance.
Poussez-vous de mes roues mon frérot à disparu.
Arrivé à quelques mètres du bar où il avait laissé son odeur en souvenir, il remonta sur le trottoir.
Le patron du café de la paix préparait sa terrasse et avait sorti les chaises et les tables à cause de l'odeur qui était entrée dans le bar par les bouches d'aération.
Malgré l'hiver, certains consommateurs étaient dehors à l'abri sous les parasols qu'avait pensé à mettre le cafetier au cas où il se mettrait à pleuvoir.
Le Pépère évita un parasol et un deuxième.
- Toc toc toc, tu vas tout casser devant le bar, toc toc toc, attention à mon bec toc toc toc.
Le Pépère continuait et en tapant dans les tables avec le scooter, il fut déséquilibré. Il tomba sur une chaise et avec la vitesse le scooter continuait sans chauffeur.
Le Pépère rebondit sur la chaise pour atterrir sur un des parasols et comme par miracle retomba sur la selle. Pêcheur était décomposé et il avait les plumes dans tous les sens.
- Alors c'est qui le meilleur chauffeur de scooter au monde, c'est pépère.
- Toc toc toc, tu es un vrai danger de la route, toc toc toc. Tu as ravagé la terrasse du bar toc toc toc. Pépère, tu ne sauras jamais ministre de la sécurité routière toc toc toc. Où est ton frère, toc toc toc.
- Écoutez demoiselles, votre compagnie m'est fort aisée, mais je m'en vais regagner mon logis. Je suis un peu las, puis je l'avoue, ce godelureau m'a fatigué. Mais une chose est assurément certaine, c'est que le faquin n'est pas près à y revenir.
- Hii, tu l'as bien corrigé, tu es mon méga love Momo.
- Hiii, oui, tu as chassé un raseur de plus, hiii, si ça se trouve, il était parti faire caca au pied du noyer, pirate, bandit, sacripant, faquin, hiii.
Momo repartit en direction de chez lui. Il avançait avec grâce et arriva assez vite devant sa maison. Il se mit à la porte et miaulât, mais personne ne lui ouvrit. Le ciel lui semblait bizarre sans qu'il sache pourquoi. Impatient, il finit par monter avec grâce sur le rebord de la fenêtre afin de se faire voir par la vitre.
- C'est étrange quand même, j'ai comme l'impression que le temps n'est point comme à l'accoutumé.
Je suis, fort aise néanmoins de voir mes amis dormir ainsi contre ce bon chauffage dont il ne faut point monter dessus. Il me faudrait lui dire au petit-enfant que cet endroit pour les pattes est très dangereux, qu'il ne fasse point cette stupide bêtise que j'aie commise un jour en sautant dessus. Diantre, rien que d'y repenser, j'en ai encore mal aux coussinets. Bon que nous dit cet azur laiteux, c'est étrange quand même, ses nuages ne semblent point normaux. Hé, monsieur ciel, que vous est-il arrivé, est-ce une bévue de notre sacripant de Pépère qui vous aurait déranger en ayant fait des siennes sur la commune voisine, chat chat chat.
j'extrapole, certes, ne m'en veuillez point. Morbleu, la porte qui s'ouvre, vite allons rejoindre notre couche afin d'y faire office d'un repos bien mérité et ne pensons plus à ce maraud qui était sur nos terres, mon bon roi Momo.
Le poète rangea son téléphone et prit la direction de sa voiture.
Le Pépère rendit Saturne invisible et celui-ci fila dans les jambes de l'homme qui ne le voyait pas. Dans la petite voiture Pépère était extrêmement concentré, légèrement penché en avant. C'est alors que le dépliant tomba et que Pépère vit qu'une promotion sur le jarret de porc était en cours. Il ne le savait pas, car il avait loupé la page en le consultant. René, le poulet qui était sur la couverture avait accaparé toute son attention. C'est alors qu'il s'en saisit et salivait en répétant, mon bon seigneur, Roger le jarret, je vais prier pour vous, notre sainte côtelette qui êtes au musée de la viande, faite que Roger le jarret ait l'honneur de parler à mes crocs. Zut, Pépère que fais tu, tu relâches la garde, Saturne va devenir visible. C'était déjà trop tard l'homme le vit apparaître devant lui.
- Ça alors c'est bizarre, je vois disparaître le Pépère tout à l'heure et maintenant, je vois apparaître Saturne au même endroit que la fifille. Il se passe des choses bizarre ici que je ne comprends pas. Vient joli minet, tu as peut-être faim. C'est pour qui les bonnes croquettes que j'ai dans la voiture.
Pépère ne savait pas comment faire et pensait le rendre invisible dès que le poète serait en route. Il tapait de la patte de colère et se mit à crier, tout en sachant que l'homme ne pouvait l'entendre dans la voiture qui était invisible sur le plan sonore.
- Ne t'inquiète pas mon frérot, je vais te rendre invisible dès qu'il sera en train de rouler.
Il pensera avoir été victime d'une hallucination avec tout ce qu'il engloutit.
Le poète se demandait s'il ne rêvait pas.
- Vient mon gamin, je te dis que j'ai des croquettes regarde sur le siège, miam miam les bonnes croquettes, c'est pour qui.
Le Pépère le regardait méchamment et fit la réponse.
- Pour ma love colis, pour qu'elle s'en fasse des collier, pour faire des défilés de haute couture pour le bal de la gendarmerie espèce d'ivrogne. Laisse mon frérot en paix et donne-moi ma carte ivrogne. Attends que je rentre, si tu fais du mal à mon frère, je désintègre ton gourbi à coup de moustaches.
Le Pépère ne pouvait plus rien faire, le poète avait pris Saturne dans ses bras. Il risquait de les rendre invisibles en même temps.
Il montait dans sa voiture et mit Saturne derrière.
Le Pépère était affolé et décida d'aller chercher quelqu'un pour l'accompagner sur le scooter.
Son téléphone n'était pas chargé et il décida d'aller trouver Isidore vers la mare.
En sortant de la voiture, il se prit la patte dans la ceinture et tomba dans une flaque de boue. Très vite, il partit se cacher derrière son auto et s'essuya sur le pare-choc.
- Bon pas d'affolement mon copain, tu es de nouveau parfaitement propre. J'y ai échappé belle, je ne crains rien derrière la voiture, l'autre zèbre marocain élevé au rhum italien ne peut pas me voir. Zut, il s'est envolé l'oiseau, vite allons voir Isidore.
Il partit vers la mare où Isidore était en train de travailler avec Coin-coin et Un-œil sur un détail de leur numéro qui le chagrinait pour l'émission toutes griffes dehors.
Le Pépère lui expliqua la situation et Isidore semblait embêté.
- Je comprends mon copain, mais je dois absolument travailler une partie du spectacle avec Un-œil et Coin-coin.
- Fle fle fle, oui sinon je ne serai jamais canard premier pour ma love poète gendarme que j'aime, fle fle fle.
- Excuse nous Pépère, mais pourquoi n'y vas-tu pas avec Pêcheur ?
- C'est une bonne idée, je l'emmène avec moi.
- Toc toc toc, soit prudent mon copain, toc toc toc, je ne veux pas finir chez le béquetier, toc toc toc.
Le Pépère se dépêcha de sauter sur le scooter et dit à pêcheur.
- Tu es prêt à partir avec Chatmareur.
- Toc toc toc, fait attention surtout, je ne veux pas perdre mon bec toc toc toc.
Le pépère démarra comme un fou et le pauvre héron était déjà en train de prier et de se demander s'il avait eu une bonne idée de partir avec lui.
Le Pépère continua d'accélérer le scooter qui avait failli chuter en dérapant dans l'allée boueuse.
Le Pépère reprit la route du centre-ville. Le peu de monde qu'il y avait à cette heure-ci et qui descendait vers le canal se poussait devant ce danger de la route.
Un scooter conduit par un chat avec derrière lui, agrippé, un héron qui hurlait.
- Toc toc toc, le Pépère va me tuer, toc toc toc, je vais finir sans bec, toc toc toc. Pépère, tu vas finir les quatre pattes cassées, toc toc toc.
- Non ne t'inquiète pas, je suis le Casanova du scooter, poussez-vous les minettes Chatmareur est de sortie. Sur la route en sens unique qui remontait vers le bar où il avait fait son exploit de déjection, il se mit à slalomer entre les voitures en stationnement et criait, poussez-vous, c'est une affaire d'une extrême importance.
Poussez-vous de mes roues mon frérot à disparu.
Arrivé à quelques mètres du bar où il avait laissé son odeur en souvenir, il remonta sur le trottoir.
Le patron du café de la paix préparait sa terrasse et avait sorti les chaises et les tables à cause de l'odeur qui était entrée dans le bar par les bouches d'aération.
Malgré l'hiver, certains consommateurs étaient dehors à l'abri sous les parasols qu'avait pensé à mettre le cafetier au cas où il se mettrait à pleuvoir.
Le Pépère évita un parasol et un deuxième.
- Toc toc toc, tu vas tout casser devant le bar, toc toc toc, attention à mon bec toc toc toc.
Le Pépère continuait et en tapant dans les tables avec le scooter, il fut déséquilibré. Il tomba sur une chaise et avec la vitesse le scooter continuait sans chauffeur.
Le Pépère rebondit sur la chaise pour atterrir sur un des parasols et comme par miracle retomba sur la selle. Pêcheur était décomposé et il avait les plumes dans tous les sens.
- Alors c'est qui le meilleur chauffeur de scooter au monde, c'est pépère.
- Toc toc toc, tu es un vrai danger de la route, toc toc toc. Tu as ravagé la terrasse du bar toc toc toc. Pépère, tu ne sauras jamais ministre de la sécurité routière toc toc toc. Où est ton frère, toc toc toc.